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L'image sans limite avec Yann Le Jaffotec
Publié le 29/10/2004 à 09:27
Rencontre. Réalisateur et projectionniste.
C'est pour devenir le projectionniste du centre socioculturel André Malraux, à Mirepoix, que Yann Le Jaffotel vient vivre en Ariège, il y a cinq ans. C'est un passionné d'images. Dés qu'il est arrivé, il s'est bricolé un petit castelet-cinéma et a écumé les terrasses des cafés pendant le festival de marionnettes de Mirepoix, pour projeter des petits films en super 8. Très vite, l'envie de faire ses propres films surgit en collaboration avec Michel Guemrani, dans le cadre d'un collectif qui regroupait divers moyens d'expression artistique. Yann Le Jaffotec réalise «des courts métrages burlesques, tous créés en Ariège avec beaucoup de récupération, autant pour les décors que pour les costumes». Son premier film d'animation, «Au faîte», a d'ailleurs été filmé entièrement dans sa cuisine, sans coûter un centime !
SON PREMIER FILM ... DANS SA CUISINE
Aujourd'hui, il vient de réaliser «Je me trompe... Peut-être» avec Paz Boïra, dans le cadre d'une résidence de création à l'association HDFS à Toulouse. C'est son premier film réalisé en imagerie numérique. «Ce court métrage questionne un des sens probables du regard. Il trouve ici la forme d'un doute». Si la première a été donnée dans le cadre du festival de l'image de HDFS le 11 septembre dernier, Yann a tenu à projeter son film à Foix. Chose faite le 9 octobre à L'ivre livre qui avait été aménagée spécialement pour cette occasion. Malgré ses différentes créations, Yann reste projectionniste. Il ne rate jamais une occasion de projeter ses propres films ainsi que ceux de sa collection personnelle. «Je pratique un jeu de mixage à partir de films originaux qui mettent en scène des monstres ou des super héros. Je fais des superpositions pour détourner les images et en créer une troisième». Des organisateurs de festivals l'ont d'ailleurs contacté pour ces séances de projections spéciales. Malgré ses nombreuses activités, Yann Le Jaffotec fourmille encore de nombreux projets, dont une série de trois films d'essais sur le thème des cailloux et une exposition de photos : «Couloirs». Cette dernière a déjà été exposée en partie à Toulouse mais elle n'est pas encore complètement finie, par manque de moyens financiers. Yann pense avoir terminé cette exposition pour la fin du mois de décembre soit deux ans après l'avoir commencée et, si tout se passe bien, il la montrera au public avec le groupe de plasticiens Odradek. Yann aime les images, toutes les images et il ne s'en cache pas.
Renseignements : 05 61 65 68 82.
De notre correspondant Florent Raoul

        

En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2004/10/29/300003-l-image-sans-limite-avec-yann-le-jaffotec.html#8tmpP0j8Atk1UxRe.99



La nuit de tous les délires artistiques
Publié le 21/04/2000
Loisirs - Plein air - TOULOUSE : SAINT-CYPRIEN
image: http://static.ladepeche.fr/content/media/image/zoom/2000/04/21/20000421017.jpg

La nuit de tous les délires artistiques DDM
image: http://www.ladepeche.fr/images/pictos/zoom.png

Impro, chants, expo- photo de body-art, peintures apostoliques... La 7e nuit Articicide à l'Erich Coffie, le samedi 22 avril, s'annonce plus déjantée que jamais!
Dans « lesalonquireçoit » de la rue Henri-Desbals, lieu de rendez-vous artistique, Marie-Pierre, Michelle-Rose et Christelle, des modèles, prêtent leur corps au pinceau de Michel Batlle. Dans sa combinaison blanche de peintre en bâtiment, il redessine le corps humain... Un des dadas de l'artiste, inventé dans les années soixante, la psychophysiographie.
« J'ai toujours été intéressé par le corps. Pas en tant qu'objet esthétique, affirme Michel Batlle malgré son oeil coquin, mais plutôt pour une recherche un peu voisine de celle des artistes de la renaissance. Humaniste et universaliste. Ce n'est pas ornemental, c'est une peinture qui développe des réseaux imaginaires du corps ».
Derrière un grand rideau noir, juste à côté, Francisco Artigas, photographe, zoome sur ces toiles anatomiques vivantes.
« Le support de Michel, c'est le corps. Moi, je le rephotographie. D'abord des vues d'ensemble ensuite dans le détail. C'est avec ses détails que l'on va jouer », raconte Francisco Artigas.
Tuer l'art pour le faire renaître...
Leur travail se transformera en une exposition photo intitulée « Plus d'un corps à leur art » dans « lesalonquireçoit », le 22 avril à partir de 18 heures. Un avant-goût de ce qui attend les inconditionnels de la 7e nuit Articide à l'Erich Coffie qui démarrera dès 22 heures.
« Au départ, ce sont des nuits qui regroupent des créateurs qui sortent de la confusion de l'art d'aujourd'hui. Articide signifie tuer l'art. Mais on tue l'art à toutes les époques pour essayer de trouver du nouveau. C'est la rupture qui est intéressante!», assure Michel Batlle, organisateur de cette nuit avec son groupe musical Articide Circuit.
Les musicos se succéderont à l'Erich Coffie dans la différence la plus totale. Improvisations, chants a capella en catalan, voix arabes, percussions, batucada... l'art sous toutes ses formes fusionne. Ce sera aussi l'occasion de participer à une peinture collective. Et sur les murs du café, les toiles apostoliques et romaines de Laurent Redoulès, retraceront le chemin de croix de Gustave Moreau.
Et en ce samedi saint, rares seront ceux qui porteront l'auréole!

Ils seront là...
Articide Circuit: Barbara Flottes, Michel Batlle, Sébastien Siozade, Sidi Ould Yahoui invitent... Amanita Muscaria batucada, De Maïre en Filha voix d'Oc, René Duran rural existenciel, Papillion rural percussif, Falk Eisterlehner/Laurent Gil musique en temps réel, Alima Hamel/Loïc Schild peaux- voix et métaux, Odradek sons plastiques, Erich Sperling, Ouehiba Haddada une voix de l'Atlas, Chiko tchatche-combat, Les Fouztika, Jean-Claude Solana « rue des fleurs ».
[NOTE] ______ A partir de 18 heures, expo de Michel Batlle et Franciso Artigas au Salonquireçoit, 274, rue Henri- Desbals. A partir de 22 heures, nuit Articide à l'Erich Coffie, rue Joseph- Vié. Métro Saint-Cyprien. Entrée 30 F.
M.-P. B.

        LOISIRS - PLEIN AIR

En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2000/04/21/98952-la-nuit-de-tous-les-delires-artistiques.html#DVbgsJr46g9RJvkp.99

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